Lady Oscar : les morts d'André et d'Oscar, la prise de la Bastille
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Nous abordons aujourd'hui la mort des deux héros de l'anime.
La mort d'André.
André décède le 13 juillet 1789, la veille de la mort d'Oscar et de la prise de la Bastille. Les gardes françaises se sont rebellées contre l'autorité royale et doivent chaque jour se battre pour leur survie. Lors d'un affrontement, André est blessé par balles et mourra le soir même. Oscar est submergée par le chagrin, celui qu'elle aime, avec qui elle a grandi, n'est plus... mais elle sait qu'elle ira bientôt le rejoindre.
La mort d'Oscar.
Le 14 juillet 1789, Oscar se sait condamnée à plus ou moins brève échéance. Elle crache du sang, signe qu'elle a attrapé la tuberculose. André est mort, la vie ne compte plus pour elle.
Des représentants du peuple parisien décident de frapper un grand coup et de s'emparer de la Bastille. Ils sont sûrs d'y trouver des armes en quantité, ce qui leur permettra de se défendre contre les troupes du Roi. Robespierre est contre mais Bernard Châtelet lui dit que cet assaut aura quand même lieu, le peuple le veut.
Malheureusement pour les Parisiens, la forteresse est imprenable. Elle est défendue par de vrais soldats, sachant utiliser leurs fusils et, surtout, leurs canons. Ne connaissant rien au métier des armes, les assaillants ne savant pas comment utiliser leurs armes et se font massacrer.
Oscar viendra à leur rescousse, désireuse de faire tomber ce symbole de l'absolutisme. Elle dit à ses hommes comment pointer les canons; ceux-ci feront de grands dégâts.
Les attaques sont tellement dévastatrices que le gouverneur de la Bastille décide de tuer le chef des révoltés. Il sait bien que, sans chef, les soldats ne sont rien. Il suffira de deux, trois balles au cœur pour tuer Oscar, mais ses hommes continueront l'attaque et s'empareront de la forteresse.
La scène de sa mort se termine par une série de dessins au pastel. Elle y est seule ou avec André, enfin heureuse, débarrassée des douleurs de la vie. C'est comme si elle avait trouvé la paix de l'âme en rendant celle-ci. Comme le diront, des années plus tard, Rosalie et Alain, ils sont morts sans avoir vu les horreurs à venir de la Révolution, les multiples exécutions arbitraires de la Terreur et de la Grande Terreur.