Eye patch : les pansements sur l’œil des japonaises
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Au détour d'une série animé japonaise, vous croiserez certainement un personnage, une fille en général, avec un cache-oeil, genre bandeau de pirate. A priori cela est pour soigner une infection mais, ces dernières décennies, cet accessoire est plutôt devenu un support fétichiste pour otakus.
On distingue effectivement deux cas, le port du bandeau en tant que traitement médical et le port en tant qu'objet décoratif ou de beauté. Dans les animes et même la mode, c'est ce denier qui s'est imposé.
A l'origine, le bandeau noir des pirates, comme Albator (Captain Herlock).
Et son usage classique, le masque blanc, en cas d'infection occulaire.
Mais, au fil du temps, cet objet a envahi l'animation, comme ici avec Asuka et Rei de Neon Genesis Evangelion, conférant soit un côté jeune fille en détresse qui a besoin d'être protégée (Rei) ou au contraire une femme forte, limite dangereuse (Asuka).
Un autre personnage d'anime.
Ce bandeau s'est même invité dans le monde de la mode, japonaise et internationale, avec des formes plus ou moins complexes.
Idem pour le cinéma, avec Elle Driver dans Kill Bill de Quentin tarantino.
Vous connaissez la règle 34 d'Internet? Elle stipule que si quelque chose existe dans la vraie vie alors son équivalent pornographique existe aussi sur Internet. Un des sous-genres du SM est consacré au monde médical, avec les fantasmes sur les infirmières et médecins et, dans ce sous-genre, on trouve celui des femmes dans le plâtre, comme le montre ce livre disponible en français, "Femmes de plâtre" de Romain Slocombe.
Et en voici un , japonais, avec quatre magnifiques jeunes femmes dotées d'un "sensuel" bandeau sur l'oeil.
Pour ceux qui souhaiteraient en utiliser en mode cosplay, le mot clé est "Eye patch". On en trouve facilement sur le net, comme le montrent ces captures écrans.
Du plus simple au plus beau, cet accessoire de mode a acquis ses lettres de noblesse, même hors de la japanime.